

KiMSO, cabinet pionnier sur l’évaluation d’impact social en France a pour mission d’accompagner ses clients, associations, entreprises sociales, fondations, investisseurs à impact et directions RSE d’entreprises à développer leur impact social.
En 5 ans, nous avons réalisé plus de 200 missions et développé ainsi une solide connaissance de solutions face aux différentes formes de précarités et d’inégalités, notamment dans les champs de l’éducation, de l’emploi ou du handicap.
La force de notre équipe repose sur deux piliers : l’engagement et une complémentarité d'expertises, mis au service de projets porteurs de sens.
L'évaluation recouvre l'ensemble des méthodes d'études qui peuvent être mobilisées alors que la mesure d'impact recouvre uniquement les méthodes quantitatives.
En fonction des questions évaluatives, une évaluation d'impact peut s'appuyer sur une méthode qualitative à travers des observations et entretiens avec les parties prenantes. Elle peut également mobiliser des méthodes quantitatives via la définition d’indicateurs et la mise en place d’outils de suivi ou d’enquêtes pour mesurer ces indicateurs.
Enfin, l'évaluation peut aussi faire appel à des méthodes monétaires en s’appuyant par exemple sur les coûts évités pour la puissance publique.
Depuis 3 ans, Innov’Avenir avait mis en place des questionnaires avant/après administrés aux élèves mais les résultats étaient difficiles à récupérer et au final peu exploités. L'enjeu pour l'équipe était double : monter en compétence sur l'évaluation d'impact en bénéficiant d'un accompagnement et d'outils bien construits pour pérenniser la démarche et bénéficier d'une évaluation externe pour valider les changements de représentations et de comportements des jeunes vis à vis du numérique.
A l'issue du projet, nous retenons deux points majeurs :
Dans toutes nos missions, il est indispensable de bien comprendre la réalité des organisations que nous accompagnons pour construire un dispositif sur-mesure et adapté à chacune. Ce point a été particulièrement important dans notre accompagnement d'Innov'Avenir, pour qui la logistique d'organisation des ateliers peut être complexe. En effet, nous avons été particulièrement attentives à bien prendre en compte, aux différentes étapes de la mission et dans la construction de nos outils, la réalité dans chacun des établissements scolaires concernés : présence ou non d'ordinateurs dans les classes, compréhension des termes utilisés dans les questionnaires par les élèves, présence et rôle des enseignants lors des ateliers, ...
Le second enseignement concerne la temporalité des effets mesurés au cours de notre mission. En effet, le temps de l'éducation est le temps long, ce qui peut sembler difficilement compatible avec une évaluation d'impact social réalisée sur une partie de l'année scolaire. Innov Avenir sème des graines dans l'esprit des élèves, qui pourront porter leurs fruits quelques années plus tard en matière d'orientation professionnelle ! Ainsi, les entretiens avec les enseignants pour recueillir leurs avis et leur perception des effets des parcours sur les élèves et sur eux-mêmes ont été précieux pour mettre en perspective cet enjeu temporel.
Lors d'un premier échange avec une organisation à finalité sociale, nous posons 3 questions : que voulez-vous savoir ? Qui souhaitez-vous convaincre ? A quoi les résultats de l'étude vont servir ?
C'est en fonction de ces questions que nous pouvons construire une méthodologie adéquate. Ensuite, il ne faut pas craindre de se lancer dans la démarche, suivre une formation par exemple peut être un premier pas pour monter en compétence.
La démarche d'évaluer son impact va amener à s'interroger sur la mission sociale du projet, les parties prenantes concernées et les effets attendus ou espérés. C'est une démarche riche qui permet d'objectiver des ressentis ou des intuitions, de valoriser des parties prenantes comme les bénévoles et souvent d'identifier des voies d'amélioration.
Innov’Avenir vous donne rendez-vous en septembre pour les résultats !